Alcoolisme féminin : réponse de la Sophrologie
Dans mon dernier article sur les drogues dures comme l’héroïne, je notais que de tout temps les hommes et les femmes ont eu recours pour diverses raisons aux stimulants : Alcool, Aphrodisiaques, Drogues, Médicaments, Cocktails Multiformes et Fantasmatiques les plus Complexes.
De ce quintette infernal le plus ancien est alcool, le sang de la vigne.
L’alcool sera donc le sujet de mon article.
En effet, l’alcoolisme féminin existe bel et bien de nos jours et touche toutes les couches de la population, sans distinction de classe.
C’est à partir d’une étude de cas que je fonde mes propres observations :
- Pourquoi devient-on alcoolique ?
- Quel objet substitutif représente-t-il ?
- Serait-ce une fidélité accolée à la boisson en un enlacement indestructible et mortel ?
- Ou bien, l’acte de boire tiendrait-il lieu d’épreuve de la réalité ?
C’est tout le problème de la relation entre décharge motrice et satisfaction hallucinatoire, la grande problématique chez l’alcoolique dépendant étant une trop grande différence de symbolisation de la vie vécue et de la vie fantasmatique.